Le Crowdfunding, pour booster au plus vite la notoriété de son entreprise

Le Crowdfunding ou Financement participatif est un nouveau mode de financement qui est en perpétuel développement. C’est une perspective passionnante pour beaucoup d’entreprises de nos jours. En effet, avec l’aide d’internet, plusieurs entrepreneurs optent pour cette technique puisqu’elle donne accès à des opportunités de financement comme jamais auparavant. Elle consiste à rassembler et à agrandir une communauté via les réseaux sociaux comme Facebook et Twitter ou à s’inscrire dans des sites de Crowdfunding.

Contrairement aux prêts bancaires, la prise de risque est moins grande, donc les freinscrowdfunding moins puissants. En effet, son principe est de convaincre par exemple 1000 personnes de donner ou prêter 10 € plutôt que de convaincre « une » personne pour 10 000€. Aussi, tout entrepreneur désirant vendre un produit Financement participatif ne pourra que tirer profit, car non seulement son entreprise sera lancée, mais en plus il bénéficiera d’une publicité gratuite.

À qui s’adresse-t-il ?

Le financement participatif s’intéresse à toutes les sortes de projets. Généralement, les sites de mise en relation sont thématiques : projets culturels, sociaux, environnementaux, innovants, numériques, etc. Toutefois, il faut également savoir que trois formes d’apports sont offertes aux investisseurs, à savoir :

  1. Un don : appelé aussi « présent d’usage ». C’est la forme la plus connue de crowdfunding, auprès des particuliers. Les gens investissent simplement parce qu’ils croient en la cause qui est défendue par le projet. La rémunération de l’épargnant est sans contrepartie financière, cela peut être un objet, une entrée gratuite pour un spectacle, etc.
  2. Une participation aux fonds propres de la société créée. La rémunération de l’épargnant se fait alors par les dividendes ou par la plus-value réalisée lors de la cession des titres.
  3. Un prêt. Jusqu’au 1er octobre 2014, les prêts versant des intérêts ne pouvaient être proposés que par des établissements de crédit agréés par la Banque de France et seule la collecte de prêts sans intérêts pouvait être ouverte aux particuliers.